Le cheval en extérieur : les différents types de clôture

Une bonne clôture est une clôture respectée par le cheval. Et pour que le cheval respecte une clôture, il faut rassembler plusieurs critères :

  • Qu’il ait assimilé que la clôture représente une limite infranchissable : c’est pour cela que qu’une clôture doit d’une part être visible, d’autre part soit en dur, soit électrifiée. Dans le second cas, lorsqu’un cheval “teste” en touchant la clôture, il doit ressentir une secousse suffisamment puissante pour qu’il assimile que cette barrière ne doit par se franchir malgré sa légèreté apparente.
  • Qu’il se sente en sécurité à l’intérieur de son parc : pour qu’un cheval reste dans son parc il est nécessaire qu’il s’y sente bien, c’est-à-dire qu’il n’ait pas mieux à trouver de l’autre côté de la clôture ! Il faut donc veiller à ce qu’il ait suffisamment d’espace, de choses à faire, de congénères, d’aliments à manger, d’abris pour se protéger de la chaleur et des intempéries, etc. S’il estime qu’il lui manque quelque chose et qu’il voit cette chose de l’autre côté de sa barrière, il y a fort à parier qu’elle ne résiste pas longtemps.

Autrement dit, la sécurité d’un parc ne réside pas que dans l’efficacité de sa clôture, mais aussi dans la qualité de vie à l’intérieur du parc !

Chevaux marchant dans le couloir d'un paddock paradise (crédit : HorseGuard)

Clôture en lisses de bois et clôture naturelle (HorseGuard Canada)

Quelle hauteur ?

Pour qu’une clôture soit efficace il faut qu’elle ne puisse être franchie ni en la forçant, ni en passant au-dessus ou en dessous. En général on considère qu’une hauteur de 1,20 m est le minimum (au-delà de 1,50 m, si les chevaux persistent à la franchir, c’est qu’il y a un problème à résoudre dans le parc qui fait que les chevaux ne désirent pas y rester, donc plutôt que de la monter encore il faut commencer par se demander ce que l’on peut modifier à l’intérieur).

Clôtures en lices de bois et clôtures en rubans 4 cm : on voit que le ruban large reste visible même à distance (Écurie de Beauperier).

Clôtures en lices de bois et clôtures en rubans 4 cm : on voit que le ruban large reste visible même à distance (Écurie de Beauperier).

Le plus souvent, on ajoute une hauteur intermédiaire, qui doit être ni trop haute pour éviter que les chevaux passent en dessous, ni trop basse pour éviter qu’ils passent entre les deux hauteurs. Si deux hauteurs de fil (c’est-à-dire p.ex. une à 1,20 m et une à 60 cm) ne suffisent pas, si l’on a des shetlands, des poulains, ou des gymnastes par exemple !, on peut rajouter une troisième hauteur, en les répartissant à distance égale, p.ex. 40 cm, 80 cm et 1,20 m. Les hauteurs peuvent être de même nature (trois rubans p.ex.) ou différentes (on peut alterner une lisse en bois en haut et du ruban en dessous, ou du ruban large en haut et du fil en dessous, pourvu que la clôture reste visible et efficace). Lorsque l’on doit dépasser 3 hauteurs de fil, c’est encore une fois qu’il semble que la volonté des équins de sortir devienne trop pressante et il faut se poser la question de pourquoi est-ce qu’il souhaitent tant sortir pour tâcher d’y remédier avant de rajouter des hauteurs supplémentaires.

Si vous voulez installer des hauteurs de rubans supplémentaires en dessous de la clôture pour empêcher les animaux sauvages d’entrer (sangliers, blaireaux etc.), il est conseillé de les installer légèrement décalés à l’extérieur de la clôture de manière à ce que les chevaux ne risquent pas de se prendre les pieds dedans.

Les clôtures artificielles

Pour monter une clôture artificielle, il faut utiliser une matière qui soit suffisamment visible pour représenter une “limite”, mais il faut également qu’elle soit capable de céder en cas d’urgence : si le cheval fonce dans la clôture, peu importe si c’est à tort ou à raison, il faut que ça soit la clôture qui cède avant le corps du cheval, sous pleine de blessures qui peuvent être graves. C’est la raison pour laquelle il est important que la résistance des clôtures à la pression soit inférieure au poids d’un cheval. Les rubans et les fils ont tous cette qualité, mais pas les cordelettes ni les fils métalliques à bovins, qui ne sont pas prévus pour les équins.

Ce qui est autorisé (et +/- conseillé suivant les cas)

Le ruban

Il existe en 3 largeurs différentes, 1 cm, 2 cm ou 4 cm ; en général, c’est celui de 4 cm qui est recommandé pour les chevaux, mais il présente un inconvénient majeur : sa prise au vent. La règle est que plus le ruban est large, plus il est visible, donc efficace. La grande variabilité de prix des rubans dépend de la qualité de fabrication : le nombre de conducteurs, leur nature (acier, cuivre) et leur diamètre, leur disposition (rassemblés au milieu du ruban ou répartis sur la largeur) ; bords renforcés ou non ; ajouré ou non (pour lutter contre la prise au vent). L’usure d’un ruban (et donc sa durée de vie) est fortement influencée par chacun de ces critères.

Trois hauteurs de ruban doublant une haie naturelle (Les chevaux de Cojoux).

Trois hauteurs de ruban doublant une haie naturelle (Les chevaux de Cojoux).

Le cordon ou cordelette

Plus conducteur que le ruban et légèrement plus visible que le fil, c’est souvent une solution adoptée pour des raisons de commodité. Le problème du cordon est qu’il est trop résistant à la pression (souvent autour de 450 kilos), ce qui signifie que si le cheval fonce dedans le cordon résistera et le cheval risquera de rester bloqué avec un pied enroulé dans le cordon et/ou d’emporter une série de piquets dans sa course.

Clôture en trois hauteurs de cordelette (Equid'Orac)

Clôture en trois hauteurs de cordelette (Equid’Orac)

Le fil électrique

Bon conducteur mais trop fin donc pas assez visible ni assez résistant, il n’est conseillé que pour renforcer une clôture constituée d’autres éléments qui compensent ses manques.

Clôture mobile en fil fin et piquets fibre (Pauline Tanguy)

Clôture mobile en fil fin et piquets fibre (Pauline Tanguy)

Le fil métallique fin spécial cheval

D’une résistance faible et d’une conductivité très intéressante, néanmoins très fin donc très peu visible, c’est une solution qui peut être adoptée en plus d’une partie bien apparente (p.ex. en mettant du ruban large en haut et du fil métallique en dessous, ce qui permet de profiter des qualités de chacun : le ruban est bien vu, tandis que le fil conduit très bien l’électricité, et craint beaucoup moins le vent et la neige).

Clôture mobile avec fil métallique spécial chevaux et piquets plastiques (Les poneys plume).

Clôture mobile avec fil métallique spécial chevaux et piquets plastique (Les poneys plume).

Les clôtures en bois

Connu pour être le plus durable, mais aussi le plus cher si l’on n’a pas la matière première sur place. L’inconvénient est que les chevaux risquent de les grignoter et/ou de s’y frotter. Une autre question à se poser est celle du traitement du bois, souvent à base de produits chimiques fortement polluants.

Une clôture en bois (Élevage Edel'paradise)

Une clôture en bois (Élevage Edel’paradise)

Les lices en ciment ou en plastique

Les chevaux ont vite fait d’aller se frotter dessus et de tester leur résistance, qui est souvent plus faible que celle du cheval !

Une clôture en acier galvanisé (Anne-Claire Chuppachups)

Une clôture en acier galvanisé (Anne-Claire Chuppachups)

Le plus adapté pour les chevaux reste le ruban électrique de 2 ou 4 cm suivant les contraintes à gérer (notamment, le critère de la prise au vent et de l’éventualité de neige sont à prendre en considération). On peut également adopter une solution mixte : ruban en haut + fils métalliques fins en dessous, ou bien lices en bois + rubans ou fils en dessous, etc. En règle générale on met toujours un élément bien visible en haut de manière à ne pas inciter le cheval à tenter de passer par dessus la clôture.

Une clôture mixte, avec alternance de rubans et de cordelettes (Les chevaux de Cojoux)

Une clôture mixte, avec alternance de rubans et de cordelettes (Les chevaux de Cojoux).

Ce qui est interdit et/ou déconseillé

  • Le fil de fer barbelé : L’usage du barbelé n’est plus interdit pour les établissements équestres en France depuis 2008, mais il risque de crever des yeux, de déchirer la peau ou de sectionner les tendons et de provoquer des infections graves.
  • Le fil métallique renforcé pour bovins : épais et/ou torsadé, il est peu visible et a une résistance trop forte pour les chevaux, ce qui implique que si les chevaux se prennent dedans il peut leur sectionner les tendons.
  • Le grillage de jardin : n’étant pas électrifié, le cheval risque de s’appuyer dessus pour aller grignoter l’herbe à côté… jusqu’à ce qu’il cède complètement et s’affaisse.
  • La clôture à moutons : Souvent trop basse, elle présente également le risque que le cheval se prenne les pieds dedans.
  • Les systèmes de portes à ressorts : Fortement déconseillé car le cheval risque de se coincer la queue dans le ressort une fois tendu.
  • Les piquets en métal type “fer à béton” présentent un danger non négligeable d’empalement.

Comment fonctionne un électrificateur ?

Fonctionnement d'une clôture électrifiée (Patura).

Fonctionnement d’une clôture électrifiée (Patura).

Sur un électrificateur, il y a deux fils :

  • un “négatif”, que l’on enfonce dans le sol : c’est la prise de terre ;
  • un “positif”, que l’on attache à la clôture électrique.

C’est le contact entre le positif et le négatif qui provoque la décharge. C’est pour cela que lorsque le cheval, qui est en contact avec le sol (négatif), touche le fil (positif), le courant passe entre les deux : c’est la décharge. C’est également pour cela que les oiseaux peuvent se poser sans risque sur le fil : ils ne font pas contact avec le sol ! Et c’est pour cette raison aussi que les plantes qui touchent le fil font contact entre sol et fil et limitent la puissance restante sur la clôture.

D’une manière générale, les électrificateurs secteur sont plus puissants que les électrificateurs à batterie. Si votre clôture se trouve en limite de propriété (le long d’un chemin) vous êtes tenus d’installer tous les 50 mètres des panneaux indiquant que la clôture est électrifiée.

Il est important qu'une clôture électrique soit électrifiée !

Il est important qu’une clôture électrique soit… électrifiée ! (Eolia Kaloo)

L’installation de la prise de terre est tout aussi importante que la partie aérienne : elle doit être suffisamment profonde pour que le contact puisse se faire, et cela implique d’enfoncer la prise de terre à plusieurs mètres de profondeur, ou bien d’en installer plusieurs. Dans le cas contraire, la “secousse” électrique lors du contact avec la clôture restera toujours trop faible. Dans les cas extrêmes où l’installation d’une prise de terre efficace est impossible, il existe des rubans à double conduction, positive et négative.

Il est également important de raccorder l’électrificateur à la clôture en utilisant un fil adapté (et non pas du simple fil électrique fin destiné à faire des clôtures), sous peine de perdre toute la puissance disponible !

Par ailleurs, il faut penser également que plus un cheval a du poil, plus l’intensité électrique doit être importante sinon le cheval ne sentira rien lors du contact.

Les clôtures naturelles

Ce que l’on appelle une clôture “naturelle” n’est pas toujours sauvage, parfois il s’agit de plantations que l’on contraint à mesure de la pousse afin que les arbres poussent dans le sens désiré. Mais dans tous les cas il s’agit de clôtures vivantes, par opposition aux clôtures artificielles.

Une haie naturelle (Les chevaux de Cojoux)

Une haie naturelle (Les chevaux de Cojoux)

De multiples intérêts

Parmi les avantages considérables d’une clôture naturelle on peut citer qu’elle est de loin le système le plus visible, le plus massif et le plus durable.

On peut utiliser des techniques comme celle de l'espalier pour créer des clôtures naturelles.

On peut utiliser des techniques comme celle de l’espalier pour créer des clôtures naturelles.

Elles protègent les chevaux du vent et peuvent leur apporter des éléments nutritifs (à conditions qu’ils ne la dévorent pas bien entendu !).

D’un point de vue écologique elles sont évidemment d’un grand intérêt puisqu’elles captent le gaz carbonique et produisent de l’oxygène, elles apportent de la fraîcheur et de l’humidité en été, elles ralentissent l’érosion des sols et en permettent un drainage par leurs racines alimentant les nappes phréatiques. Elles sont de plus un véritable atout pour la biodiversité en fournissant des fleurs pour les insectes, des branches pour les nids des oiseaux, et un abri pour les petits animaux.

On peut également s’en servir pour se fournir en petits fruits, en plantes médicinales, en bois pour faire du BRF ou se chauffer par exemple.

Diversité des espèces

On peut récolter des petits fruits sur une haie naturelle (Wildfeuer).

On peut récolter des petits fruits sur la haie (Wildfeuer).

On peut combiner différentes espèces qui vont se compléter, parmi lesquelles des épineux, des arbres à bois plus ou moins souples, des arbustes buissonnants, des plantes à petits fruits, des lianes, etc. : aubépine, ronce, églantier, acacia (le vrai et non le robinier), framboisier, olivier de bohème, prunellier, frêne, boulot, saule, chêne, sureau, noisetier, pommier, poirier, cornouiller, peuplier, aulne, cassis, cognassier, châtaigner, figuier, mûrier arborescent, noyer, sorbier, tilleul, vigne, chèvrefeuille, etc.

Plus la diversité sera importante, plus les bénéfices seront visibles ; et bien entendu, plus les espèces seront locales, plus elles joueront leur rôle dans l’écosystème !

Le plessage, ou plessis

C’est une vieille technique qui consiste à planter des arbres à bois souple et au fur et à mesure de leur pousse à les “tresser” ensemble de manière à ce qu’ils forment une clôture vivante et massive.

Une clôture en plessis (source : promhaies.net)

Une clôture en plessis (source : promhaies.net)

 

13 commentaires

  1. Durandana Auteur juin 2, 2015 (5:30 )

    Bonjour, et merci d’avoir partagé cette information sur les différents types de clôtures pour les chevaux. Il y a beaucoup de raisons pour lesquelles il est important de choisir la clôture correcte pour ces situations, car ils ont besoin d’être fort et en bonne qualité. Je pense qu’il est important d’avoir une clôture de qualité pour garder vos animaux hors de danger.

    • Marie Lhorloger Auteur juin 3, 2015 (12:41 )

      Merci pour ce commentaire encourageant 🙂

      Oui, il est important de bien choisir sa clôture et il existe tellement de possibilités qu’il vaut mieux se renseigner avant !

  2. Laurent Chevalier Auteur juin 5, 2015 (5:55 )

    Moi, je préfère une clôture plutôt classique en bois. L’idée d’une clôture naturelle m’intéresse beaucoup, par contre. Elle demandera plus d’entretien et de planification peut-être, mais les autres avantages ne sont pas à ignorer. Merci de l’article !

    • Marie Lhorloger Auteur juin 5, 2015 (6:36 )

      C’est logique de préférer le bois pour un vendeur de bois 😉

  3. Clarice Auteur juillet 9, 2015 (3:43 )

    Super article ! Avoir une bonne clôture est tellement important pour ceux qui ont des chevaux. Je trouve que les clôtures en bois sont les plus beaux. Je ne savais pas que ce matériau est connu pour être le plus durable. Est-ce qu’il est cher ?

  4. Gaston Parizeau Auteur août 14, 2015 (5:59 )

    C’est absolument vrai que le cheval doit respecter la clôture pour que ce soit efficace, comme dit l’article. C’est pour cette raison que la hauteur doit être suffisante pour que le cheval ne pense pas qu’il peut sortir facilement. J’aime bien les clôtures en bois, car je trouve qu’elles sont assez imposantes face au cheval.

  5. Lola Auteur août 30, 2015 (6:21 )

    Bonjour
    nous souhaitons acheter un shetland mais nous n avons pas de cloture electrique notre terrain est cloture par du grillage de jardin
    avant nous y avions un ane et un poney
    qu en pensez vous ?
    merci

    • Marie Lhorloger Auteur août 31, 2015 (6:57 )

      Bonjour,

      certains particuliers font ce genre de chose, sans se demander s’il y a des risques. Heureusement, dans la plupart des cas tout se passe bien… jusqu’à ce que le poney se coince un pied dans les mailles du grillage, ou bien qu’il s’appuie dessus jusqu’à ce qu’il cède, puis s’en aille.

      Pour sécuriser un petit peu vous pouvez au minimum ajouter une clôture électrique à l’intérieur de votre jardin, pour que le poney n’ait pas accès au grillage.

      Il faut garder également à l’esprit que les équins (chevaux mais aussi poneys et ânes) ne sont pas faits pour vivre seuls. Donc c’est une décision à réfléchir non seulement pour votre plaisir personnel, mais aussi pour le bien-être de l’animal que vous aller accueillir 🙂 Lui offrir une vie adaptée à ses besoins (de l’espace, des congénères, une alimentation adaptée, et autant que possible une clôture non dangereuse !), c’est la base lorsqu’on accueille un animal chez soi.

  6. Noele plumecoq Auteur avril 5, 2016 (3:27 )

    Pouvez vous nous dire si il est normal qu jeune cheval avant débourrage soit mis dans une stable fermée porte ouverte avec un fil electrique Pour lui apprendre à reconnaître le fil et la décharge qu il a reçu l a projete au fond du boxe?

  7. theret Auteur avril 21, 2016 (10:28 )

    Nous avons un parc a clôturé pour y mettre un poney shetland un âne et bardot. Les piquer font environs 1m 40 de haut combien de fil faut t’il mettre et quelle sorte de fil je ne voudrais pas qu’il se blesse.le fil lisse en galva et t’il assez visible pour ses animaux ??

    Merci pour vos réponses

    Patricia

  8. Marchois élodie Auteur septembre 4, 2016 (3:29 )

    Faire des recherches sur les clotures et tomber sur ton article, très bien rédigé 🙂 bises élodie

  9. pora Auteur janvier 3, 2019 (1:03 )

    Bonjour,
    J’ai lu cet article avec interet.
    Je suis conseiller municpal, et je souhaiterais prendre des poneys en retraite pour qu’ils finissent leurs jours ageablement dans une pature à entretenir.
    L’espace est enherbé, boisé et calme. Il y a environ 1.5hectares. Je souhaiterais donc 2 shetland.

    Mon probleme est liée à la cloture.
    Je ne souhaite pas mettre en place une cloture electrique.

    j’aimerais entourer en parti le terrain par une haie benjes de 1.2à 1.5mde haut et de 0.8 à 1 m de large.

    Est ce qu’il y a un risque qu’u shetland s’echappe avec une telle “cloture”?

  10. Jean-Baptiste Leroux Auteur juillet 5, 2019 (1:12 )

    Votre article est très complet et plein de bons conseils. Effectivement je suis aussi d’avis que si le cheval essaie toujours de franchir la clôture, c’est qu’il ne se sent pas à son aise dans le parc. Je pense qu’aujourd’hui on trouve suffisamment de clôtures différentes dans le commerce pour y trouver la solution idéale. J’ai un faible pour les clôtures naturelles que je trouve plus esthétiques et plus discrètes. Tout comme vous, je pense qu’elles sont un véritable atout pour la biodiversité.

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