J’ose aussi croire qu’aujourd’hui en France ces lignées sont de plus en plus appréciées à leur juste valeur. Et j’ose croire qu’ils sont de plus en plus nombreux ceux qui se soucient de se rapprocher de la nature, ceux qui se soucient de vivre avec un cheval équilibré, qui n’a vécu aucun traumatisme (ni au cours de la naissance, ni au cours son éducation, ni même au cours du sevrage), un cheval qui “parle” cheval, bien dans sa tête et bien dans ses sabots, vivant en symbiose avec son environnement mais aussi en confiance vis-à-vis de l’humain car la relation que nous nouons avec eux est primordiale.