L’École des Cavaliers

L’École des Cavaliers

A l’École des Cavaliers, ce sont les chevaux les professeurs. Et pour qu’ils soient capables d’éduquer correctement les cavaliers, ils ont besoin d’être heureux !
Tous les équidés vivent donc en troupeau dans des parcs aménagés (Paddocks Paradise) où ils peuvent exprimer tous leurs comportements naturels.
Le but de cette gestion raisonnée de l’environnement est de permettre aux équidés de satisfaire l’intégralité de leurs besoins fondamentaux.
De la conception à l’installation, découvrez nos Paddocks Paradise !

Les Écuries du Grand Vallat

Les Écuries du Grand Vallat

Mon Paddock Paradise a ceci de particulier qu’il s’est fait “tout seul” : je n’ai pas dessiné de couloirs ni d’espaces plus larges, ce sont les chevaux qui l’ont fait eux-mêmes. Je les ai installés sur un terrain sauvage de plusieurs hectares avec des dénivelés, des sols de natures variées et une forêt au milieu, et ce sont eux qui ont tracé leurs chemins pour aller d’un point à l’autre du parc : point d’eau, clairières plus ou moins abritées et orientées différemment, pinède dense pour s’abriter des intempéries, etc.

Gestion de l’herbe pour un cheval au pré : partie 2

Gestion de l’herbe pour un cheval au pré : partie 2

Les arbres et les haies sont très intéressants avec en tête l’idée du bocage normand (présence de prairies, arbres, bosquets) utilisées auparavant pour séparer les terrains agricoles. Ils fournissent à la fois une source nutritive (50% de l’alimentation des chevaux), un abri mais également une réserve de biodiversité.

Gestion de l’herbe pour un cheval au pré : partie 1

Gestion de l’herbe pour un cheval au pré : partie 1

Afin de garder un terrain productif, il est important de mettre en place de nombreuses parcelles dans lesquelles les chevaux ne devraient pas rester plus de dix à vingt jours. Avec un tel roulement, l’impact sur la flore est réduit car l’herbe n’est jamais rase et la terre a l’occasion de “respirer” car elle est peu tassée.

De plus, il est important d’éviter les chevaux de pâturer sur de l’herbe trop courte car ils ont tendance à couper le bulbe des pousses. Le surpâturage engendre également la prolifération de plantes comme les rumex et les chardons.

Environnement naturel du cheval

Environnement naturel du cheval

Pour commencer, le cheval est un animal nomade qui, à l’état sauvage, parcourt de 15 à 20 kilomètres par jour en quête de nourriture et d’eau. En effet, son système digestif est constitué de telle sorte qu’il doit continuellement être alimenté pour répondre à ses besoins énergétiques. Le cheval passe de ce fait 70% de son temps à manger. (Voir notre dossier sur l’alimentation).

Le cheval “en état”

Le cheval “en état”

Observer un cheval avec un surpoids général (et pas uniquement au niveau de l’abdomen) démontre donc un réel problème au niveau des apports de l’alimentation et du manque de dépense d’énergie. Des variations temporaires sont par contre normales, selon la saison, la disponibilité alimentaire et les situations particulières (croissance, poulinnage, etc.).

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