Il est important de toujours utiliser une l’HE de bonne qualité (biologique) et de la diluer dans une huile végétale.
Vers le naturel… Mais quel naturel ?
Depuis plusieurs années (voire décennies pour certains !), nous pouvons observer une vraie tendance des propriétaires et amoureux des chevaux envers les produits d’origine naturelle. Pour autant, est-ce la panacée ? Comment s’orienter, dans une offre de plus en plus variée, parfois sans transparence ?
Le gentil petit chêne et les grands méchants tanins
L’un des marronniers (si j’ose dire) de cet automne chez les équitants était la toxicité des glands de chêne : on trouve des articles un peu partout qui en parlent, des blogs divers aux sites spécialisés en passant par le site des Haras Nationaux, sans toujours donner un aperçu général de la question.
Vermifuger : qui, quand, comment ?
Aujourd’hui, la gestion des parasites intestinaux repose presque exclusivement sur l’utilisation des antiparasitaires (anthelminthiques) de synthèse. Or l’utilisation de ces médicaments nécessite de nombreuses précautions. C’est pourquoi les produits naturels, visant à réguler le parasitisme intestinal, apparaissent séduisants.
Mais sont-ils efficaces ? Et quel est réellement le problème de l’utilisation des anthelminthiques de synthèse ?
Présentation : le shiatsu équin
Le shiatsu est un habile mélange entre les théories de la médecine traditionnelle chinoise et une technique de massage japonaise. Travailler en shiatsu consiste à rééquilibrer le corps et l’esprit dans leur globalité en exécutant des pressions (avec les mains), des étirements et des mobilisations de tout le corps pour améliorer la circulation de l’énergie, via les méridiens.
Harper : témoignage d’un avant/après
Vient le jour où il ne galope plus, où il ne trotte plus, tout cela devient bien trop dur pour lui de se mouvoir au pas alors aux allures supérieurs, c’est peine perdue. Je le soupçonne de ne pas boire à sa soif, de ne pas aller au foin parce qu’il faut marcher un peu.
Symptomatologie et blocage ostéopathique
N’oubliez pas également que le blocage peut être la conséquence du symptôme, mais à l’inverse le symptôme peut également entraîner par la suite le blocage : on entre alors dans un cercle vicieux avec trouble récidivant tant que la cause principale n’a pas été supprimée.
Le Harper classique ou australien
A noter : Après discussions avec quelques vétérinaires, la plante peut être absorbée et ne pas agir de suite, et rester latente, il se peut qu’elle n’agisse jamais. On pense toujours qu’en enlevant la cause (donc la plante) le corps va finir par se débarrasser de la toxine, et bien pas tout le temps. La toxine qui met en générale quelques mois à être évacuée peut rester des années et (donc faire penser à un double classique). Et enfin un classique peut être bilatéral et un australien unilatéral mais là ce ne sont pas des cas généraux.
Quand la tendinite est là : tour d’horizon des soins possibles
Comme vu dans l’article précédent, les tendinites trouvent aussi leurs origines au niveau du métabolisme. Il est donc bon de procéder à un petit nettoyage de l’organisme. Même si elle est d’origine traumatique les médicaments vont charger les reins et le foie. De très bons produits en vente libre existent sur le marché.
Tendons du cheval : comment ça marche, comment les préserver ?
Les tendons sont plus résistants que les muscles, ils sont soumis à des forces de tension et de compression qui peuvent supporter 17 fois le poids corporel total moyen d’un cheval.