Equitation Western : un peu d’histoire

Equitation Western : un peu d’histoire

L’équitation western en France attire aujourd’hui de plus en plus de personnes, qu’elles soient à la recherche d’une équitation de loisirs, sécurisante ou adeptes d’une équitation sportive. On dénombre à ce jour de nombreuses disciplines s’inspirant de près ou de loin du travail des cow-boys : disciples de bétail (working cow, team penning…), de vitesse (barrel racing, pole bending…) ou de performance (trail, western pleasure, reining…).

Réflexion entre la théorie et la pratique…

Réflexion entre la théorie et la pratique…

Comprendre le point de vue de l’autre, même s’il est différent, permet de rester ouvert sur autrui et d’apprendre. Si nous étions tous pareil, le monde serait bien triste… Et cette diversité permet autant d’apprendre d’un cavalier sortant à haut niveau que d’un vegan ayant arrêté l’équitation par éthique. Encore faut-il que nous acceptions de ne pas juger leur chemin propre. Et qu’au lieu d’enlever la paille de l’oeil du voisin, nous retirions la poutre qui est dans le notre.

Les causes d’accidents à cheval, blessures et facteurs de risque

Les causes d’accidents à cheval, blessures et facteurs de risque

Le défi principal serait de se concentrer sur la construction d’un bon niveau de communication et de compréhension entre le cheval et le cavalier : trouver des solutions afin de mieux prédire le comportement du cheval, d’éviter les réponses de combat et de défense, de comprendre mieux les indices comportementaux que nous transmet le cheval, ainsi que de savoir analyser le comportement humain (stress, etc.).

Le Side pull

Le Side pull

Le side-pull est donc l’outil privilégié des débutants : il est le plus doux et a un pouvoir coercitif moindre que les autres ennasures*. Il est également adapté aux cavaliers ayant des attentes plus élevées et pratiquant des activités qui nécessitent un contact régulier (dressage, obstacle, etc.). Finalement, il permets les mêmes actions de mains qu’en mors, facilitant la transition pour un cavalier non initié.

De l’inutilité des enrênements

De l’inutilité des enrênements

Se tourner vers une équitation « alternative » demande de laisser au placard les outils de contrainte que nous utilisons dans notre tradition (bride, éperons, cravaches, enrenements), tout simplement car nous partons du principe que nous devons réellement écouter notre cheval. Celui-ci sait par essence se placer, se porter et effectuer n’importe quel exercice que nous pourrions lui donner. Le cheval est juste et a toujours raison. Pouvons-nous en dire autant?

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