L’un des marronniers (si j’ose dire) de cet automne chez les équitants était la toxicité des glands de chêne : on trouve des articles un peu partout qui en parlent, des blogs divers aux sites spécialisés en passant par le site des Haras Nationaux, sans toujours donner un aperçu général de la question.
Pourquoi le sans mors ?
Le travail est le même, ça me prend peut être un peu plus de temps sans mors (mais j’ai le temps puis on dit bien que qui veut gagner du temps doit savoir en perdre!) … Et surtout ça me permet aussi d’apprendre et de bien comprendre ce que je fais… En fait, c’est pour moi également une façon de pouvoir avancer toute seule en restant dans le « juste », en m’appliquant à bien utiliser mon corps plutôt que de chercher à travailler sur l’attitude du devant. Il est bien plus facile de tricher avec un mors que sans…
Vers une relation plus sécuritaire et respectueuse du Cheval
Nous vous proposons aujourd’hui la traduction d’une étude suédoise traitant des relations entre la sécurité humaine et la manipulation du cheval. En effet, elle permet de faire une synthèse des points de vue équin (perception, capacité d’apprentissage, personnalité) et humain (compréhension, comportement). Cette étude permet donc de s’orienter vers une relation plus sécuritaire et respectueuse du bien-être équin.
Le cheval en extérieur : les différents types de clôture
Une bonne clôture est une clôture respectée par le cheval. Et pour que le cheval respecte une clôture, il faut rassembler plusieurs critères :
Le sans-mors en extérieur
Le spectre du cheval qui embarque peut être combattu par l’éducation du cheval et du cavalier à affronter une situation plus ou moins « effrayante » : désensibilisation et sortie en main, à l’épaule ou aux longues rênes pour le cheval, contrôle de soi (assiette, centrage et respiration) pour le cavalier.