Comprendre le point de vue de l’autre, même s’il est différent, permet de rester ouvert sur autrui et d’apprendre. Si nous étions tous pareil, le monde serait bien triste… Et cette diversité permet autant d’apprendre d’un cavalier sortant à haut niveau que d’un vegan ayant arrêté l’équitation par éthique. Encore faut-il que nous acceptions de ne pas juger leur chemin propre. Et qu’au lieu d’enlever la paille de l’oeil du voisin, nous retirions la poutre qui est dans le notre.
L’équitation Western : simplifier pour commencer
Voilà pour ce qui est des aides en équitation western. Avec cette base, vous devriez être en mesure de diriger votre cheval aux trois allures, d’effectuer des cercles et des voltes, ainsi que des transitions. Dans un prochain article, les figures de base seront abordées.
Quand le cheval redevient naturel – Histoire d’une réadaptation
Pour résumer, je dirais que c’est en revisitant totalement les conditions de vie de mon cheval que ce changement a été possible. L’environnement était sain, le parage et la posture ont été travaillés, et les apports alimentaires ont été revus de façon réfléchie, dans le souci de toujours aller vers le plus naturel possible, tout en laissant au corps le temps de se réadapter. Je crois que la principale qualité de ce travail de réadaptation est le temps : prendre le temps de faire des transitions alimentaires correctes, de travailler l’aspect physique et postural en douceur, et de laisser le temps au cheval de s’autonomiser dans l’utilisation des ressources.
Témoignage : Mon poney a 25 ans, et on le vit bien
Alors que la plupart des cavaliers achètent des jeunes chevaux, anti-conformiste de nature, j’ai acheté mon premier poney à 24 ans. 24 ans, c’était notre âge à tous les deux. Un choix peu raisonnable, et pour cause, j’ai laissé parler mon coeur. Mick, mon hongre fjord aujourd’hui âgé de 25 ans, n’est cependant pas arrivé récemment dans ma vie. Je l’ai rencontré alors qu’il avait 16 ans.
Témoignage : La perte de poids
Ce que je partage ici avec vous est un témoignage. A chacun d’adapter ses astuces en fonction de ses possibilités, et de son cheval… Armez-vous de patience, de considération envers votre cheval, d’esprit critique envers vous-même et les solutions se présenteront naturellement. Et surtout, n’oubliez pas d’aimer vos « gros » chevaux, ils sont en fait « remplis » d’amour.
Harper : témoignage d’un avant/après
Vient le jour où il ne galope plus, où il ne trotte plus, tout cela devient bien trop dur pour lui de se mouvoir au pas alors aux allures supérieurs, c’est peine perdue. Je le soupçonne de ne pas boire à sa soif, de ne pas aller au foin parce qu’il faut marcher un peu.