L’équitation académique, effectuée en harmonie et sans artifice avec (et non pas contre) son cheval peut permettre un travail juste où le cheval évolue librement, en recherchant ses airs naturels. N’oublions pas de l’écouter et de remercier humblement ce qu’il accepte de nous offrir.
Introduction
Dans la droite ligne de notre dossier sur l’équitation western, il nous a semblé évident de proposer également quelques articles sur l’équitation classique (d’autant plus que certains de nos membres la pratiquent). Il n’est pas ici question de prendre la place des différents auteurs, contemporains ou non, ayant travaillé en profondeur sur ce sujet: il est question de vulgariser une équitation qui peut paraître, à première vue, composée d’un grand nombre d’écoles et de théories différentes.
Un bref historique de l’équitation académique
L’équitation académique bénéficie de remarquables réflexions d’écuyers d’horizons divers et variés. Nous vous proposons dans cet article une présentation simplifiée des origines de cette équitation, ainsi que de ses différentes évolutions au fil des siècles.
Les concepts de base en équitation académique
Baucher estimait d’ailleurs qu’il était possible d’effectuer tout les airs de haute école en filet simple: il est donc possible d’envisager la compétence du cavalier non pas aux outils qu’il utilise, mais plutôt à sa capacité à travailler en suivant les différents principes académiques avec peu de moyens (mors simple – ou même sans!, non-utilisation d’enrênements, etc.).
La basse école
Lorsque l’on parle de dressage, il est fréquent d’avoir en tête les sauts d’école ou encore un piaffer brillant. Cependant, avant d’arriver à ces mouvements exigeants physiquement et mental, il est primordial d’effectuer un travail préparatoire en amont.
Essayons de définir la haute école
Pour mon expérience personnelle, la haute école est aussi accessible sans mors, sans éperons et sans fers. C’est juste plus complexe de se faire comprendre sans moyens de pressions / contrôles mais çà se fait très bien.