L’un des marronniers (si j’ose dire) de cet automne chez les équitants était la toxicité des glands de chêne : on trouve des articles un peu partout qui en parlent, des blogs divers aux sites spécialisés en passant par le site des Haras Nationaux, sans toujours donner un aperçu général de la question.
Elever des chevaux de halter au cœur de la nature, un pari osé ?
J’ose aussi croire qu’aujourd’hui en France ces lignées sont de plus en plus appréciées à leur juste valeur. Et j’ose croire qu’ils sont de plus en plus nombreux ceux qui se soucient de se rapprocher de la nature, ceux qui se soucient de vivre avec un cheval équilibré, qui n’a vécu aucun traumatisme (ni au cours de la naissance, ni au cours son éducation, ni même au cours du sevrage), un cheval qui « parle » cheval, bien dans sa tête et bien dans ses sabots, vivant en symbiose avec son environnement mais aussi en confiance vis-à-vis de l’humain car la relation que nous nouons avec eux est primordiale.
Le cheval en extérieur : les différents types de clôture
Une bonne clôture est une clôture respectée par le cheval. Et pour que le cheval respecte une clôture, il faut rassembler plusieurs critères :
L’École des Cavaliers
A l’École des Cavaliers, ce sont les chevaux les professeurs. Et pour qu’ils soient capables d’éduquer correctement les cavaliers, ils ont besoin d’être heureux !
Tous les équidés vivent donc en troupeau dans des parcs aménagés (Paddocks Paradise) où ils peuvent exprimer tous leurs comportements naturels.
Le but de cette gestion raisonnée de l’environnement est de permettre aux équidés de satisfaire l’intégralité de leurs besoins fondamentaux.
De la conception à l’installation, découvrez nos Paddocks Paradise !
Les Écuries du Grand Vallat
Mon Paddock Paradise a ceci de particulier qu’il s’est fait “tout seul” : je n’ai pas dessiné de couloirs ni d’espaces plus larges, ce sont les chevaux qui l’ont fait eux-mêmes. Je les ai installés sur un terrain sauvage de plusieurs hectares avec des dénivelés, des sols de natures variées et une forêt au milieu, et ce sont eux qui ont tracé leurs chemins pour aller d’un point à l’autre du parc : point d’eau, clairières plus ou moins abritées et orientées différemment, pinède dense pour s’abriter des intempéries, etc.