L’équitation western en France attire aujourd’hui de plus en plus de personnes, qu’elles soient à la recherche d’une équitation de loisirs, sécurisante ou adeptes d’une équitation sportive. On dénombre à ce jour de nombreuses disciplines s’inspirant de près ou de loin du travail des cow-boys : disciples de bétail (working cow, team penning…), de vitesse (barrel racing, pole bending…) ou de performance (trail, western pleasure, reining…).
Réflexion entre la théorie et la pratique…
Comprendre le point de vue de l’autre, même s’il est différent, permet de rester ouvert sur autrui et d’apprendre. Si nous étions tous pareil, le monde serait bien triste… Et cette diversité permet autant d’apprendre d’un cavalier sortant à haut niveau que d’un vegan ayant arrêté l’équitation par éthique. Encore faut-il que nous acceptions de ne pas juger leur chemin propre. Et qu’au lieu d’enlever la paille de l’oeil du voisin, nous retirions la poutre qui est dans le notre.
L’équitation Western : simplifier pour commencer
Voilà pour ce qui est des aides en équitation western. Avec cette base, vous devriez être en mesure de diriger votre cheval aux trois allures, d’effectuer des cercles et des voltes, ainsi que des transitions. Dans un prochain article, les figures de base seront abordées.
Quand le cheval redevient naturel – Histoire d’une réadaptation
Pour résumer, je dirais que c’est en revisitant totalement les conditions de vie de mon cheval que ce changement a été possible. L’environnement était sain, le parage et la posture ont été travaillés, et les apports alimentaires ont été revus de façon réfléchie, dans le souci de toujours aller vers le plus naturel possible, tout en laissant au corps le temps de se réadapter. Je crois que la principale qualité de ce travail de réadaptation est le temps : prendre le temps de faire des transitions alimentaires correctes, de travailler l’aspect physique et postural en douceur, et de laisser le temps au cheval de s’autonomiser dans l’utilisation des ressources.
On a testé pour vous : La formation de Bodywork avec A. Battles
En mai, j’ai eu l’occasion de me rendre en Suisse pour suivre la formation en Bodywork donnée par April Battles, qui est à l’origine de cette méthode donc on entend beaucoup parler ces derniers mois. Voici mon compte rendu.
Témoignage : Mon poney a 25 ans, et on le vit bien
Alors que la plupart des cavaliers achètent des jeunes chevaux, anti-conformiste de nature, j’ai acheté mon premier poney à 24 ans. 24 ans, c’était notre âge à tous les deux. Un choix peu raisonnable, et pour cause, j’ai laissé parler mon coeur. Mick, mon hongre fjord aujourd’hui âgé de 25 ans, n’est cependant pas arrivé récemment dans ma vie. Je l’ai rencontré alors qu’il avait 16 ans.
Le leadership est-il un concept fiable chez le Cheval ?
Les récentes recherches soulignent que l’existence de processus distribués entre les individus semble être la norme pour les mouvements de groupe chez les animaux, et que la prise de décision a lieu avant et après le départ. Le leadership concentré sur un seul individu apparait donc comme un cas extrême parmi le continuum des processus de prises de décision qui s’étend depuis le contrôle par un seul individu jusqu’à un partage égal des décisions entre les membres d’un groupe.
L’importance des oligo-éléments dans l’alimentation équine
Dans l’alimentation équine, l’aspect quantitatif est couvert par les fibres (foin, paille, herbe) nécessaires à la production énergétique (glucides, lipides, protides) tandis que l’aspect qualitatif comprend les vitamines et les oligo-éléments indispensables au bon fonctionnement du métabolisme*
Témoignage : La perte de poids
Ce que je partage ici avec vous est un témoignage. A chacun d’adapter ses astuces en fonction de ses possibilités, et de son cheval… Armez-vous de patience, de considération envers votre cheval, d’esprit critique envers vous-même et les solutions se présenteront naturellement. Et surtout, n’oubliez pas d’aimer vos « gros » chevaux, ils sont en fait « remplis » d’amour.
En conclusion, comment réduire le risque de blessure ?
Tous les facteurs évoqués dans cette étude devraient être intégrés aux programmes de formation afin de réduire les risques pour les Hommes et les chevaux : apprendre à être perçu positivement par le cheval, assurer son intégrité physique et émotionnelle, comprendre ses indices.